renault 4 date de sortie tout savoir sur le grand retour de la légende populaire au look néo-rétro

renault 4 date de sortie tout savoir sur le grand retour de la légende populaire au look néo-rétro

Elle a trimballé des familles, des artisans, des étudiants fauchés, des vacanciers chargés à bloc… La Renault 4 fait partie de ces voitures qu’on n’oublie pas. Bonne nouvelle : la légende revient, en version 100 % électrique et au look néo-rétro très assumé. Mais alors, quand sort cette nouvelle R4 ? À quoi va-t-elle ressembler ? Et restera-t-elle fidèle à l’esprit d’origine ? On fait le point.

Renault 4 : un retour très attendu… et soigneusement orchestré

Renault ne s’est pas contenté d’annoncer le retour de la 4L. Le constructeur a préparé le terrain avec plusieurs étapes clés :

  • Un show-car spectaculaire : la Renault 4Ever Trophy, dévoilée au Mondial de l’Auto 2022.
  • Une stratégie claire : faire renaître les icônes R4 et R5 en version électrique pour symboliser la transition de la marque.
  • Un calendrier orienté “mobilité durable” : produire ces modèles en Europe, sur des plateformes dédiées à l’électrique.
  • La nouvelle Renault 4 sera une voiture 100 % électrique, basée sur la plateforme CMF-BEV de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, la même base que la future R5 électrique. L’idée : combiner le charme d’une ancienne avec l’efficacité technologique et environnementale d’une moderne.

    Date de sortie : ce que l’on sait vraiment

    La question que tout le monde se pose : quand pourra-t-on acheter cette nouvelle Renault 4 ?

    À ce stade, le planning annoncé par Renault (et son évolution probable) ressemble à ceci :

  • 2022 : présentation du concept 4Ever Trophy.
  • 2024 : montée en puissance de la communication autour des modèles électriques “rétro” (R5, puis R4).
  • 2025 : lancement commercial de la nouvelle Renault 4 électrique prévu, avec ouverture des commandes dans le courant de l’année.
  • Fin 2025 / début 2026 : premières livraisons probables aux clients, selon les marchés et le rythme industriel.
  • Comme souvent dans l’automobile, ce calendrier peut légèrement bouger en fonction :

  • des contraintes industrielles (fourniture de batteries, chaîne logistique) ;
  • du contexte économique ;
  • des priorités stratégiques de Renault entre la R5 et la R4.
  • Mais une chose est sûre : on parle désormais d’un lancement à court terme. La nouvelle R4 ne relève plus du concept lointain, elle arrive pour de bon sur nos routes dans la seconde moitié de la décennie.

    Un look néo-rétro qui assume l’héritage sans tomber dans la copie

    Renault aurait pu refaire une 4L à l’ancienne en version électrique. Mais ce n’est pas l’idée. Le projet est plus ambitieux : réinventer l’esprit R4 dans un format adapté à notre époque.

    Ce que reprendra la nouvelle R4 :

  • La silhouette “boîte à chaussures” typique, avec un volume haut et rectangulaire, pratique pour l’habitabilité.
  • Les ailes marquées et les passages de roues bien visibles.
  • Une face avant très expressive, avec des optiques rondes ou arrondies qui rappellent le regard sympathique de la 4L.
  • Une allure simple et robuste, qui ne cherche pas le luxe ostentatoire.
  • Ce que Renault modernise à fond :

  • Les proportions : la nouvelle R4 sera plus typée SUV urbain / crossover que berline ultra-compacte.
  • Les détails de style : éclairage full LED, jantes au design travaillé, signature lumineuse moderne.
  • Les protections extérieures : sur la 4Ever Trophy, on a vu des élargisseurs d’ailes, protections de bas de caisse, porte-roue de secours… autant d’indices d’une version baroudeuse ou “Adventure” à venir.
  • Résultat : un look néo-rétro bien dosé. On reconnaît tout de suite la référence à la 4L, sans avoir l’impression de rouler dans une voiture figée dans le passé.

    Une R4 électrique pensée pour un usage quotidien… et les escapades

    Au-delà du design, cette nouvelle R4 doit rester fidèle à la vocation historique du modèle : une voiture simple, polyvalente, accessible. Mais cette fois, en version zéro émission locale.

    On peut s’attendre à :

  • Une motorisation 100 % électrique, probablement similaire à celle de la future R5 (aux alentours de 100 à 150 ch selon les versions).
  • Une batterie d’environ 40 à 50 kWh pour la version de base, avec une autonomie visée autour de 300 à 400 km en cycle WLTP, suffisante pour la plupart des usages quotidiens.
  • Une recharge rapide DC permettant de récupérer 70–80 % de batterie en une trentaine de minutes sur borne rapide (selon la puissance disponible).
  • Côté philosophie, la nouvelle R4 devrait être :

  • À l’aise en ville, grâce à un gabarit compact, une bonne visibilité et un rayon de braquage correct.
  • Capable de voyager, pour les vacances, les week-ends, les trajets mixtes route/autoroute.
  • Prête pour la vie active : familles, artisans urbains, micro-entrepreneurs, loisirs, etc.
  • Et vu la communication autour du concept 4Ever Trophy, on peut imaginer que Renault ne s’interdira pas une version plus baroudeuse, pensée pour les amateurs de pistes, d’outdoor ou de vanlife light.

    Habitacle : esprit pratique, modularité et technologie simple

    La 4L originelle était tout sauf une voiture sophistiquée. Son génie, c’était la praticité : hayon, banquette rabattable, plancher quasi plat, tout ce qu’il fallait pour charger, transporter, improviser.

    La nouvelle R4 devrait reprendre ces principes dans un environnement moderne :

  • Un espace intérieur généreux grâce à la plateforme électrique, qui libère de la place au niveau du plancher et de l’habitacle.
  • Un hayon large et une ouverture pratique, fidèle à la vocation utilitaire de la R4.
  • Une banquette arrière rabattable (voire coulissante, selon les versions) pour adapter l’espace aux besoins.
  • Des rangements malins : bacs de porte, double fond de coffre, rangements sous la banquette.
  • Côté planche de bord, Renault devrait rester dans son ADN actuel :

  • Instrumentation numérique ou semi-numérique derrière le volant.
  • Écran central tactile pour la navigation, les réglages de charge, la gestion des aides à la conduite.
  • Interface simplifiée, avec des commandes physiques pour les fonctions essentielles (climatisation, volume, dégivrage).
  • L’idée : ne pas perdre l’esprit de simplicité de la R4, tout en offrant le confort d’une voiture moderne (Android Auto / Apple CarPlay, aides à la conduite, clim auto, régulateur, etc.).

    Une voiture dans l’air du temps : zéro émission locale et production européenne

    La nouvelle Renault 4 ne se contente pas d’un look vintage électrifié. Elle s’inscrit dans une stratégie plus large de Renault autour de la mobilité durable :

  • Motorisation 100 % électrique : pas d’hybride ni de thermique, histoire de ne pas brouiller le message.
  • Plateforme CMF-BEV optimisée : pensée pour réduire le coût des véhicules électriques compacts et leur empreinte carbone de fabrication.
  • Production en Europe (notamment en France pour certains éléments, comme c’est le cas pour la R5) afin de limiter les transports longue distance et soutenir un écosystème industriel local.
  • Pour les conducteurs, cela se traduit par :

  • La possibilité de circuler dans les ZFE (zones à faibles émissions) sans restriction liée à la vignette Crit’Air.
  • Des coûts d’usage réduits par rapport à un thermique (électricité vs carburant, entretien simplifié, moins de pièces en mouvement).
  • Un alignement avec les objectifs climatiques européens, qui vont progressivement réduire la place du thermique en ville.
  • Pour un blog orienté environnement et mobilité durable, cette nouvelle R4 est un symbole intéressant : la France passe à l’électrique en réinventant ses icônes populaires plutôt qu’en important uniquement des SUV anonymes.

    À qui s’adresse la nouvelle Renault 4 ?

    On pourrait croire que ce genre de modèle néo-rétro ne vise que les nostalgiques. En réalité, la cible est bien plus large. La R4 nouvelle génération pourrait intéresser :

  • Les familles urbaines qui cherchent une voiture compacte, pratique, mais un peu plus originale qu’un SUV classique.
  • Les jeunes actifs sensibles au style, à l’image de marque et au 100 % électrique.
  • Les pros et artisans en ville qui ont besoin de volume de chargement mais souhaitent une image plus moderne qu’un petit utilitaire blanc.
  • Les amateurs de loisirs nature (rando, surf, VTT, camping) qui ont besoin d’un véhicule modulable, avec un bon coffre et éventuellement une version baroudeuse.
  • Historiquement, la 4L a servi à tout : voiture de facteur, de gendarmerie, de médecin, d’étudiant, de baroudeur… La version moderne pourrait bien retrouver cette polyvalence, mais dans un contexte où l’électrique devient la norme plutôt que l’exception.

    Prix et positionnement : entre accessibilité et image de marque

    Côté tarif, Renault n’a pas encore dévoilé les chiffres définitifs. Mais on peut déjà dessiner les grandes lignes du positionnement de la nouvelle R4 par rapport à la R5 électrique.

    Probablement :

  • Une R5 électrique un peu moins chère, pensée comme la citadine iconique d’accès à l’électrique.
  • Une R4 légèrement au-dessus en prix, avec un format plus pratique, typé SUV/crossover, plus orienté famille/loisirs.
  • Renault a affiché son ambition de proposer des modèles électriques compacts et plus abordables que la génération actuelle. On peut donc s’attendre à un ticket d’entrée :

  • Significativement inférieur aux gros SUV électriques du marché.
  • Compensé par les aides publiques (bonus écologique, primes locales, offres de financement spécifiques).
  • La marque sait qu’une bonne partie du succès de la R4 historique tenait à son prix accessible. Même si l’électrique reste plus coûteux à produire, l’objectif sera de ne pas en faire une voiture élitiste.

    Et pour les fans de la 4L d’origine ?

    Si vous avez connu la 4L qui cahote sur les petites routes de campagne, vous vous demandez peut-être : est-ce que cette nouvelle R4 trahit l’esprit d’origine ?

    Quelques éléments devraient vous rassurer :

  • L’esprit de simplicité et de polyvalence reste au cœur du projet.
  • Le design évoque clairement la 4L, sans la caricaturer.
  • Renault capitalise sur la dimension populaire, et non sur un positionnement premium hors de portée.
  • Bien sûr, on ne retrouvera pas :

  • Le bruit caractéristique du petit moteur essence.
  • Les tôles fines qui résonnent quand on claque la porte.
  • Les équipements minimalistes, ni ABS, ni airbag, ni aide à la conduite…
  • Mais c’est aussi ça, l’évolution de l’auto : garder l’âme, oublier ce qui fait tache en 2025 (sécurité, pollution, confort). Les puristes continueront à bichonner leur 4L classique. Les autres pourront rouler en R4 électrique sans sacrifier leur conscience écologique.

    Une icône du passé au service de la mobilité de demain

    Si Renault a choisi de ressortir les noms “4” et “5”, ce n’est pas uniquement par nostalgie. C’est aussi parce que ces modèles racontent quelque chose de très actuel :

  • La démocratisation de l’automobile, hier comme aujourd’hui, avec l’objectif de rendre l’électrique plus accessible.
  • Une vision pragmatique de la voiture : pratique, compacte, adaptée au quotidien, loin des SUV XXL.
  • Une identité forte dans un marché où beaucoup de modèles se ressemblent.
  • La nouvelle Renault 4 s’inscrit donc à la croisée de plusieurs tendances :

  • Le retour des icônes automobiles en version électrique (Mini, Fiat 500, R5, etc.).
  • La montée en puissance des ZFE, qui poussent de plus en plus d’automobilistes à envisager l’électrique.
  • Le besoin de polyvalence : une seule voiture pour tout faire, du trajet boulot aux vacances, en passant par les week-ends outdoor.
  • Dans ce contexte, la R4 a une carte à jouer : celle de la voiture sympa, utile et cohérente avec son époque, sans se prendre trop au sérieux.

    Faut-il attendre la nouvelle Renault 4 ?

    Si vous envisagez de passer à l’électrique dans les prochaines années, la question est légitime : attendre la R4 ou partir sur un modèle déjà disponible ?

    Quelques pistes de réflexion :

  • Si vous êtes attaché à l’image de Renault et sensible à l’argument “produit en Europe”, la R4 mérite d’être surveillée.
  • Si vous cherchez un véhicule polyvalent, familial et urbain, la R4 pourrait cocher beaucoup de cases.
  • Si vous avez besoin d’une voiture tout de suite, mieux vaut ne pas tout miser sur un modèle encore en phase de préparation industrielle.
  • Mais pour ceux qui peuvent patienter un peu, suivre l’arrivée de la nouvelle R4 a du sens. Vous aurez le temps de :

  • Comparer avec la R5 électrique et les concurrentes du segment.
  • Observer l’évolution des bonus écologiques et des aides locales.
  • Voir quelles versions Renault proposera : entrée de gamme, baroudeuse, finition plus haut de gamme, etc.
  • Une chose est sûre : le retour de la Renault 4 ne sera pas anodin. Entre héritage populaire, électrification et look néo-rétro assumé, cette nouvelle R4 s’annonce comme l’un des modèles les plus attendus pour qui s’intéresse à la fois à l’auto, à la mobilité durable et à l’histoire de la marque au losange.

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